Christophe de Baenst, choisi comme nouveau CFO de SAS

SAS, spécialiste de l’analytique métier, a nommé Christophe de Baenst (35 ans) au poste de directeur financier. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il sera responsable des activités financières et de l’optimisation des processus financiers, du contrôle et du suivi des informations financières pour les marchés belge et luxembourgeois. Christophe de Baenst a précédemment fait carrière auprès des sociétés de télécommunications VOO et Siemens Enterprise Communications (désormais Unify).

L’une des tâches majeures que Christophe de Baenst aura à assumer sera de pefectionner les mécanismes de suivi des informations financières et des processus, estime Patrick Van Deven, directeur général de la fiiale BeLux de SAS. La structure locale de SAS a enregistré une belle évolution au cours des dix dernières années: le nombre de collaborateurs a été triplé; les structures ont gagné en complexité; et certaines fonctions ou groupes de travail opèrent parfois sous l’égide de responsables européens, voire internationaux.
« Ces évolutions ont contribué à rendre nos procédures et mécanismes de suivi financier plus complexes. Notre objectif est désormais de poursuivre dans la voie de leur simplification et de leur automatisation afin de limiter les charges administratives au strict minimum et de concentrer encore davantage nos efforts sur des tâches à plus haut valeur ajoutée. Pour ce faire, il est nécessaire de pouvoir s’appuyer sur les profils et les outils adéquats. Christophe sera notre guide, SAS Visual Analytics notre instrument… comme le veut le célèbre principe du eat your own dog food ».
Les nouvelles fonctions qu’endossent aujourd’hui Christophe de Baenst sont taillées à sa mesure. Il est particulièrement séduit par la culture de la société, les possibilités et les défis qu’implique un marché en forte progression mais aussi par le rôle que joue l’axe finances dans le quotidien opérationnel de la société. Il considère comme un défi personnel de veiller à ce que SAS suive le bon cap. « Alors que le CEO doit faire en sorte que le bateau navigue dans une direction donnée, c’est la responsabilité du CFO de veiller à ce qu’il s’agisse de la direction adéquate et que tout le monde s’implique à bord. Je suis prêt pour cette belle aventure », conclut Christophe de Baenst.
Dans son nouveau rôle, Christophe de Baenst peut s’appuyer sur plus de dix ans d’expérience, passés à réconcilier vision financière stratégique et innovations technologiques. Il a décroché un diplôme d’ingénieur commercial et une maîtrise à l’UCL (Louvain-la-Neuve), est marié et père de quatre enfants.