BSB se dote d’un nouveau business model et renoue avec la croissance

Suite à des difficultés économiques persistantes, BSB a pris une série d’initiatives pour rétablir son niveau de compétitivité. A ce jour, les résultats financiers de BSB sont en phase avec le plan de redressement entamé il y a un an, avec un EBITDA redevenu positif.

Afin de consolider cette tendance, BSB poursuit ses efforts à la faveur d’une révision profonde de son business model. Une réorganisation interne, qui sera achevée à la fin mars 2014, permet de réaliser une économie structurelle de 5 millions d’euros. Cette réorganisation se fonde sur une répartition plus rationnelle des équipes de développement et d’intégration de BSB sur les différents sites opérationnels de l’entreprise (Belgique, Luxembourg, France, Tunisie) et sur un rééquilibrage des coûts liés à la R&D au sein de BSB. Par ailleurs, le nouveau business model de BSB augmente de 28% les capacités d’intervention en matière d’intégration au service de ses clients en Europe, en Afrique et en Asie. Ces changements sont soutenus par une politique de ressources humaines compétitive.

Marchés stratégiques

En outre, les performances commerciales actuelles de BSB sont bonnes. Les deux marchés stratégiques de l’entreprise sont à nouveau porteurs et seront en nette progression en 2014 et 2015. De plus, les deux solutions phares de BSB répondent aux besoins qui apparaissent sur les marchés. Solife offre une réponse adaptée à la croissance du secteur de l’assurance dans les pays émergents et à la nécessité de contrôle des coûts sur les marchés plus matures. Soliam apporte les solutions nécessaires aux évolutions importantes actuelles dans le domaine du wealth management et de l’asset management, en pleine révolution suite, entre autres, à la fin du secret bancaire. Le marché local belge se montre également vigoureux, profitant notamment à l’activité SAP de BSB, en pleine croissance.
Les axes stratégiques définis par BSB pour 2014 devraient lui permettre de faire mieux que le marché avec une situation financière assainie, une compétitivité regagnée, des perspectives commerciales encourageantes et une capacité d’investissement retrouvée.
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