Un phénomène majeur est en train de se dessiner en Europe: la re-domestication des dettes publiques.

Innover, c’est bien évidemment essentiel, mais la plus grande erreur consiste à le faire en se focalisant de façon trop intense sur ses propres idées et en négligeant ainsi l’innovation des écosystèmes dont dépend leur succès.

Méconnues avant les crises de 2008 et 2011, les agences de notation ont longtemps développé leurs activités à l’abri de la clameur publique.

Après que de nouveaux records de faillites se soient succédés à l’occasion des deux premiers mois de l’année, en comparaison avec les mêmes mois des dernières années, le mois de mars s’est terminé avec 1.005 faillites, indique le bureau Graydon.

Au-delà des péripéties de banqueroute grecque, l’Europe fait face à un problème gigantesque: l’absorption des dettes publiques qui ont atteint un niveau proche de celui d’une économie de guerre. Cette situation n’est pas anodine: la dette publique exige de lever des impôts et plonge les économies dans l’austérité…

La crise a révélé l’impréparation du secteur du crédit à des chocs systémiques et a mis en exergue les difficultés de résilience monétaire. De surcroît, un contrat a été rompu entre les banques et l’Etat.

En plus du bilan financier et comptable classique, l’entreprise gagnerait à créer deux bilans supplémentaires, le bilan du « capital émotionnel » et le bilan du « capital connaissances ».

Depuis près de 40 ans, l’économie est construite sur une superposition de monnaies fiduciaires et dématérialisées.

La génération Y commence à inquiéter les directeurs financiers, notamment par l’entremise des recruteurs en finance. C’est ce qui ressort d’un Livre Blanc publié par eFinancialCareers, la place de marché de l’emploi en finance.

La très grande majorité des collaborateurs de votre entreprise portent en eux l’envie de réaliser un projet, mais une infime proportion d’entre eux la concrétise.